Bonjour les Terriens,
Depuis hier soir le vent, qui en a marre de nous voir sur son territoire, a décidé de
nous dégager de là, il souffle pour cela entre 25 et 35 nœuds ; la mer est superbe,
mais non d'un goéland, faut s'tenir !
Nous naviguons toujours au milieu de nos algues, il parait qu'elles sont
bonnes à manger, le champion Yves Parlier raconte qu'à court de nourriture, il les a
cuisinées, lors du Vendée Globe 1992, mais rassurez vous, nous n'en sommes pas là.
cuisinées, lors du Vendée Globe 1992, mais rassurez vous, nous n'en sommes pas là.
Notre mobylette (hydrogénérateur) commence à nous agacer sérieusement, elle
n'arrête pas de se mettre en RTT, les bouts que nous mettons pour la tenir en
position de travail, cassent les uns après les autres. Ça sent la "modif " à plein nez,
il va falloir en parler avec Monsieur Gibolin !
position de travail, cassent les uns après les autres. Ça sent la "modif " à plein nez,
il va falloir en parler avec Monsieur Gibolin !
Après consultation de quelques concurrents, une thérapie collective est organisée
à l'arrivée avec jus de fruits locaux !!!!
Bises à tous les Batida 's fans
Encore une journée de mer avant d'atteindre l'arrivée ? De quoi dépasser sans doute une bonne dizaine de concurrents !
RépondreSupprimerBon vent à l'équipage du Batida pour les derniers miles à parcourir !
Alain - Enseignant